diumenge, 21 d’agost del 2011

Pierre Corneille. L'illusion comique (1636)

DORANTE

Ce mage, qui d'un mot renverse la nature
N'a choisi pour palais que cette grotte obscure.
La nuit qu'il entretient sur cet affreux séjour
N'ouvrant son voile épais qu'aux rayons d'un faux jour,
De leur éclat douteux n'admet en ces lieux sombres
Que ce qu'en peut souffrir le commerce des ombres.
(...)


[...]


PRIDAMANT

Un si rare bienfait ne se peut reconnaître :
Mais, grand Mage, du moins croyez qu'à l'avenir
Mon âme en gardera l'éternel souvenir.